Les Zurbains 2001
Les Zurbains 2001 a été joué près de 20 fois chez les diffuseurs partenaires.
Les textes des éditions 1998 à 2004 sont publiés dans le recueil Les Zurbains en série chez Dramaturges Éditeurs.
Les Zurbains 2001 proposait six contes, dont quatre écrits par des auteurs adolescents. Deux textes composés par des auteures professionnelles venaient compléter le spectacle. Ces histoires mettaient en évidence les petits et grands bouleversements de la vie. Dans une perspective urbaine et contemporaine, le spectacle ramène au goût du jour une tradition bien ancrée dans notre culture : la rencontre entre le spectateur et le conteur. Les anti-héros partageaient avec le public leurs préoccupations du quotidien autant que les rencontres qui ont pu marquer leur existence.
Textes Laurent Arensma, Lorraine Côté, Monique Gosselin, Élaine Martin, Christina Paradis, Jean-François Pichette
Mise en scène Benoît Vermeulen
Interprétation Jean-François Boudreau, Isabelle Drainville, Alexandre Frenette, Jean-François Harrisson, David Savard, Sophie Vajda
Scénographie Steve Gagné
Assistance à la mise en scène et régie Pascal Pié
Costumes Jean Lachance
Éclairages Mathieu Marcil
Environnement sonore Claude Despins
Autrice-tutrice Geneviève Billette
Photographies du spectacle Simon Ménard
Présenté en collaboration avec le Théâtre Denise-Pelletier, le Théâtre jeunesse Les Gros Becs et le Théâtre français de Toronto.
La Presse
5 mai 2001
Magnifique travail de celui-ci [Benoît Vermeulen] qui a préparé un spectacle fort bien équilibré, particulièrement animé et riche de l'imaginaire de surprenants jeunes auteurs. On remarque dans l'ensemble, un souci d'envelopper toutes ces histoires souvent incroyables d'une touche d'humour fort agréable.
Jean Beaunoyer
Le Devoir
4 mai 2001
Ces six contes sont traversés par une même exigeante rigueur qui s'installe à coup de petits détails dans la mise en scène de Benoît Vermeulen et dans le jeu des comédiens. Tous, sans exeption, ils savent jouer de nuances et d'affirmations diverses, toujours justes, toujours plus vrais que vrais.
Michel Bélair