Les Zurbains 15 ans
Pour cette 15e édition, les personnages nés de la plume des quatre auteurs adolescents de même que celui imaginé par Martin Faucher, auteur professionnel de l’année, nous parlent de leur réalité, de leurs rêves et de leurs aspirations. Le tout avec une réelle pointe d’humour et des points de vue qui repoussent les limites de notre imagination. Et signe des temps, les histoires racontées dans Les Zurbains 15 ans revêtent une dimension sociale plus affirmée, incarnée dans des expériences intimes et personnelles.
Les Zurbains 15 ans a été joué 30 fois chez les diffuseurs partenaires.
Textes Martin Faucher, Marion Chassé, Thomas Ginter, Christophe Hamel, Eva Vandervort-Charbonneau
Mise en scène Sylvain Scott, Benoît Vermeulen, Monique Gosselin
Distribution Charles-Alexandre Dubé, Mickaël Gouin, Kevin Houle, Alexandre Leroux, Gabrielle Néron
Assistance à la mise en scène et régie Marie-Josée Petel
Scénographie Josée Bergeron-Proulx
Costumes Sandrine Bisson
Éclairages Mathieu Marcil
Environnement sonore Benoit Landry
Direction de production et technique Maxime Clermont-Michaud
Auteurs-tuteurs Jean-Philippe Lehoux, Michel Ouellette, David Paquet
Photographies Jean-Charles Labarre
Présenté en collaboration avec le Théâtre Denise-Pelletier, le Théâtre jeunesse Les Gros Becs et le Théâtre français du Centre national des Arts.
Montheatre.qc.ca
4 mai 2012
En passant du rire aux larmes, dans l’absurde comme dans le drame humain, ces contes sont tous de petits bijoux et on a peine à croire qu’ils ont été écrits par des adolescents. Comme quoi, vraiment, la jeunesse est porteuse d’espoir et visiblement de grand talent. Bref, pendant une heure et demie, j’ai été transportée dans des mondes fous, dramatiques et poétiques.Le temps d’un instant, le temps d’une représentation… Les Zurbains ont 15 ans : longue vie aux Zurbains!
Tova Roy
Le Devoir
6 mai 2012
En fait, grâce à une scénographie ingénieuse et une mise en scène brillante laissant toute la place à chacune des histoires, ces cinq récits attaquent aussi de front un public que l’on dit difficile… mais qui, chaque année, met à peine le temps de quelques répliques à se reconnaître. À travers des écritures fortes, vivantes, prometteuses dans tous les cas, ces Zurbains 2012 nous rappellent d’abord que le théâtre est aussi un art de combat.
Michel Bélair
Lurelu
3 mai 2012
... ils ont quelques années de moins que ceux qui envahissent les rues. Mais ces étudiants-ci, ce qu'ils occupent c'est la Salle Fred-Barry du Théâtre Denise-Pelletier. Une autre façon de faire entendre leur voix et de dire par la plume ce que la jeunesse pense du monde, de l'avenir et d'elle-même.
Frédéric Tremblay